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La gifle est, entre autres châtiments corporels, la première forme de violence dont beaucoup ont usé en tant que parents, enseignants, éducateurs voire agents dépositaires de l’autorité publique comme méthode répressive et non éducative.
Rappelons que la gifle entre à présent dans les violences éducatives ordinaires réprimées pénalement.
Mais entre la loi, son respect (et non l’obéissance) et son application…
J'aimerais donc beaucoup connaître le nombre de ceux qui n'en n’ont donné aucune et s'ils condamnent tout châtiment corporel envers les enfants mais qui en même temps s'offusquent de celle administrée à 3K.
Bien entendu, ayant été et étant toujours contre toute forme de violence physique mais aussi psychologique car les mots blessent autant que les coups, je condamne la gifle présidentielle mais pas plus et pas moins qu’une autre.
Car ce geste violent qui salit le terme éducatif que j'ai subi en tant qu'enfant et élève est terriblement traumatisant et j’en garde un souvenir cuisant mais que je n'ai jamais reproduit en tant que parent, enseignant, moniteur ou animateur.
Des méthodes qui n’existent pas dans l’école de la coopération émancipatrice consubstantielle à l’alternativÉS.
J’ai d’ailleurs relaté ces faits dans un petit écrit intitulé Vade Vetro Spective.
En attendant une improbable réponse concernant ceux qui pratiquent encore ces actes répréhensibles, vous pouvez toujours lire la tribune publiée dans le journal Le Monde de ce lundi par Arnaud Montebourg qui dit ce qu'il faut faire pour la France d’après 2022 mais pas comment il compte le faire et qui ne s'est toujours pas déclaré candidat à l’élection présidentielle .

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Wait and see.