18444129-1630-4EBB-9FE7-7784FA3ABDF8.png, avr. 2021
Dans le billet L’AlternativÉS c’est L’Engagement j’écris:  «Alors on peut gloser sans fin sur le pourquoi du comment les irrationnels bâillonnés et consentants collaborationnistes en sont arrivés là».
Je tiens à préciser que j’ai improprement utilisé le terme collaborationniste qui fait référence principalement à la guerre de 1939/1945 mais pas seulement et que, contrairement à ce qu’a clamé haut et fort le Confineur en chef, (chef oui chef) depuis le début de l’épidémie, nous ne sommes pas en guerre et qu’il n’est pas, en tant que premier représentant de l’État, notre ennemi.
C’est pourquoi dans les entreprises de l’ÉS, je n’ai jamais utilisé le terme très connoté de collaborateur qui renvoie toujours à quelque chose qui a été élaboré autre part sans le où les intéressés auquel il doit obligatoirement adhérer sans avoir son mot à dire.
J’utilise co-élaborateur en tant que participant à la co-élaboration, un des trois aspects de la conduite des entreprises par le management 3CA que les lecteurs de mes billets connaissent bien.
Pour créer une entreprise d’ÉS il faut être au moins 2 et lorsqu’elles sont en vitesse de production, elle appartiennent à ceux qui les font vivre suivant les principes et les critères d’administration et de gestion propres aux sociétés autrement appelées de personnes et où le projet et les entreprenants passe avant le capital constitué de parts sociales et non d’actions.
Ainsi, ceux que je dénomme les irrationnels bâillonnés et consentants sont les collaborateurs de ce qui a été décidé sans eux, contre contre eux mais auquel ils adhèrent selon ce que j’ai développé précédemment, à savoir le nudging, le béhaviorisme et le pouvoir de violence symbolique.

Écrit après: pour rappel, dans l’ÉS on est entreprenant mais pas entrepreneur, ingénieux mais pas ingénieur et industrieux et non pas industriel.
Et oui, le sens des mots...