L'alternativÉS.

Dans le billet Tiste rÉSsenti j’écris que le port du masque obligatoire (même en extérieur sur les parkings des zones commerciales ou près des écoles) procède d’une volonté macronnienne d’imposer une distanciation sociale et non physique qu'il s'agit pour nous isoler les uns des autres afin d'éviter toute rébellion envers des ordres débiles et favoriser la délation des uns vis à vis des autres, un "baillonnage" d'état dictatorial.


La photo du document ci-dessus prouve le bien fondé de cette assertion car, en préalable d’une intervention chirurgicale mineure, j’ai rempli ce questionnaire relatif au virus ce qui est tout à fait normal.
Ce qui l’est tout autant c’est la phrase en bas du document qui précise les conditions de contamination physique entre deux personnes en n'oubliant pas que la quasi totalité des transmissions se fait par contacts d’où les très cohérentes mesures d’hygiène sanitaire comme le lavage fréquent des mains.
Rien de nouveau car la transmission du virus par postillons entre deux personnes nécessite que l’un des deux soit contaminé et qu’ils échangent sans masque et à moins d’1 mètre pendant plus de 15 minutes.
Alors, dans ces conditions, on peut légitimement se poser la question de savoir pourquoi d’une part, ces obligations policières et militaires avec amende si non respect du port du masque lorsque l’on n’est pas dans une situation d’échange de face à face à moins d’1 mètre pendant plus de 15 minutes et, d’autre part, pourquoi les personnes acceptent de se masquer s’ils ne se trouvent pas dans cette situation à fortiori à extérieur et en surajoutent en portant le masque sous le menton, en voiture, en vélo ou d’autres manières aussi loufoques en dehors de toutes règles élémentaires d’hygiène alors qu’ils n’y sont pas obligé?
Hormis la vérification de l’hypothèse que dictature et collaboration s’alimentent l’une et l’autre comme je l’ai aussi écrit, je réserve d’autres explications rationnelles qu’il ne me semble pas opportun d’exprimer actuellement dans le cadre de ce blog.
Certains le font comme ce professeur de médecine, chef du service des maladies infectieuses de l'Hôpital de Garches quand il est interrogé sur les masques.
Cette dictature des masques est totalement infondée.
Le masque, ajoute -t-il, c'est un bâillon, une muselière, on n'a plus le droit de parler aujourd'hui.
Surtout pour les enfants pour lesquels le port du masque est totalement inutile et occasionne des difficultés à respirer et à s'exprimer sauf à vouloir leur apprendre le "baîlllonnage" institutionnel.
Pédagogiquement?
Ce que je peux dire c’est que dictature et collaboration nous obligent (le fascisme ce n'est pas empêcher de faire mais obliger de faire) et nous pourrissent la vie.
En tout cas la mienne.
Quel rapport avec l’ÉS?
La réponse fera l’objet d’un billet que je classais dans mon précédent blog dans la catégorie philosophie économique que je définis ainsi: La philosophie économique concerne tous les objets de préoccupation communs au philosophe et à l'économiste.

Une réflexion pour l’action sans laquelle l’ÉS n’a aucune chance de s’émanciper du capitalisme et de ceux qui le servent.
En attendant, je renvoie à deux billets à actualiser mais qui apportent des éléments de réponse au rapport ÉS/épidémie notamment en matière de comportement des personnes Pourquoi la MEP est une révolution sans prise de pouvoir et La coopération émancipatrice.